Les événements de la saison font penser chaque fois et chaque année un monde parallèle dans lequel soit je suis toujours là, soit je ne suis plus là. En contemplant l'illumination luxe des boulevards parisiens, souvent en conduisant mais parfois depuis le métro, je me demande si je me souviendrai un jour cette lumière. Sinon je serai toujours spectatrice de ce concert "fantastique", je penserai plutôt aux 108 cloches de "joya" que j'ai toujours écouté la Réveillant, celles du temple shintoïsme tout près de chez moi à Hokkaido ? Tout blanc, enneigé, froid, pure, bois, famille, boots, lumière, arbres et souffle.